Les émeutes en Nouvelle-Calédonie ont commencé le 13 mai à la suite des discussions, d’un projet de loi de réforme des conditions du droit de vote dans l’archipel, au sein l’Assemblée nationale à Paris. Soixante-trois jours après le début des émeutes, les barrages et des violences persistent. Après deux mois d’insurrection, l’économie de l’île s’est effondrée, 30 % du capital productif est détruit