L’investissement et la consommation sont deux notions que l’on ne définit plus tant leur acception paraît intuitive, avec des a priori réducteurs qui souffrent pourtant tous d’exceptions. D’un côté, les entreprises comme acteur principal ; de l’autre, les ménages. À l’exception du logement résidentiel, qui est le fait des particuliers. D’un côté, des dépenses qui dispensent leurs effets dans le temps long, accroissent la capacité productive, l’efficacité et la richesse réelle ou financière ; de l’autre, le temps court, l’idée d’une satisfaction immédiate. [...]