Dans sa cellule, Mohamed Amra disposait de neuf boîtiers téléphoniques et de nombreuses puces lorsqu’il était incarcéré à Paris. La question de savoir s’il disposait aussi de portables à la maison d’arrêt d’Évreux se pose. A-t-il pu lui-même prévenir le commando de tueurs qui l’a exfiltré dans l’Eure ?