Après une longue gestation, le projet de loi sur la fin de vie arrive en première lecture dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale ce lundi, pour deux semaines. Un projet qui suscite inquiétudes et divisions dans la majorité mais aussi auprès des responsables religieux et chez les soignants. Et selon Jonathan Denis, président de l’association Pour le droit de mourir dans la dignité, «on va demander à des députés de voter sur des mots qui n’ont, aujourd’hui, aucun sens».