Plusieurs centaines de femmes accusent l'Agence régionale de sûreté du médicament d'avoir gardé le silence pendant des années sur les effets secondaires graves de l'Androcur, une pilule progestative prescrite à des centaines de milliers de femmes et qui provoquerait des tumeurs cérébrales. Elles sont prêtes à poursuivre l'État pour défaut d'information.
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