Les contrôleurs aériens se savent avantagés. Grâce à de nombreuses primes pouvant faire gonfler leurs salaires jusqu’à 9 000 euros, un temps de travail malléable en fonction de leurs envies et de l’ensemble des avantages liés au métier tels que la « clairance », ils avouent être « un peu hors-sol ». Alors qu’une grève avait été annoncée le 25 avril derniers, certaines personnes assurant la sécurité et la fluidité du trafic aérien ont accepté de témoigner anonymement sur leur quotidien.
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