L'enquête administrative lancée par le ministère de l'Éducation nationale après l'agression de Samara à Montpellier (Hérault) "ne peut établir objectivement une situation de harcèlement scolaire à l’encontre" de la collégienne, peut-on lire dans le rapport publié ce mardi 30 avril. L'enquête n'a pas non plus permis d'identifier un "climat global humiliant et agressif parmi les élèves"