Google licencie des employés, après des protestations contre un contrat avec Israël.
28 employés de Google ont été licenciés après avoir protesté contre un contrat de 1,2 milliards de dollars que l'entreprise aurait passé avec le gouvernement israélien pour assurer des services d'IA et de cloud, rapporte NBC News.
Ces renvois interviennent après les manfiestations de ce 16 avril dans les bureaux de Google en Californie, à New York et à Seattle lors desquelles 9 personnes ont été arrêtées.
Le groupe qui a organisé cette démonstration est connu sous le nom de No Tech for Apartheid.
Google a publié un communiqué concernant ce licenciement récent.
Un petit nombre d'employé est entré et à endommagé nos bureaux, Porte-parole de Google, via communiqué.
Déranger le travail des autres employés et les empêcher d'accéder à nos locaux est une violation claire de notre politique et un comportement inacceptable, Porte-parole de Google, via communiqué.
Nous avons mené des enquêtes qui ont abouti au licenciement de 28 employés et nous allons continuer nos recherches pour prendre les actions nécessaires, Porte-parole de Google, via communiqué.
No Tech for Apartheid affirme que les salariés ont été choisi de manière arbitraire.
Cette excuse vise à éviter la confrontation avec nous et nos inquiétudes et justifier ceci est illégal. Ces licenciements visant à rétablir l'ordre sont des mensonges, No Tech for Apartheid, via communiqué.
Au même moment, de nombreux employés de Google aurait quitté leur emploi face aux "conséquences sur le mental de travailler pour une entreprise qui utilise leur travail pour permettre un génocide" indique No Tech for Apartheid.
A un niveau personnel, je suis opposé à ce que Google accepte les contrats militaires quel que soit le pays concerné ou le travail en question, Cheyne Anderson, ingénieur arrêté lors d'une manifestation, Google Cloud, via CNBC