Il est un confident hors pair pour les invités qu'il reçoit dans Un dimanche à la campagne sur France 2. Frédéric Lopez , dans sa maison de campagne où se déroule les tournages, parvient à surprendre les personnalités qui viennent se prêter au jeu de cette exercice particulier parvenant à les faire sortir de leur zone de confort. Mais ce lundi 1er avril, c'est l'animateur de 57 ans (il les aura ce 4 avril, ndlr) qui a été pris de court. Alors que l'ancienne Miss France Laury Thilleman l'interrogeait sur sa brillante carrière, Frédéric Lopez a aussi évoqué une période beaucoup moins glorieuse pour lui. Un échec qu'il n'a pas compris, qu'il a même eu beaucoup de mal à digérer.
Tout remonte en 2011, lorsque France 2 diffuse une nouvelle émission intitulée Leurs secrets du bonheur. Problème : le programme fait un flop monumental. "La chaîne en achète huit numéros et ils arrêtent au bout de trois. Ça ne fonctionne pas. Les gens ne sont pas là. Je ne comprends pas" explique-t-il ajoutant que, pour lui, "ce que les scientifiques racontaient était vachement intéressant mais les gens avaient envie de voir autre chose".
L'échec est si cuisant que Frédéric Lopez craque et raconte avoir fondu en larmes à l'époque. "Je pleure. Je ne sais pas pourquoi, mais je ne pleure pas de tristesse. Je pense que c'est toute la tension. Ça ne dure pas longtemps mais voilà, je me laisse aller" raconte-t-il à sa consœur de France 2. "L'émission est un échec terrible. Je me suis battu trois ans et le lendemain matin de la troisième diffusion, il y a l'audience. Là, je comprends que ça s'arrête. Ça fait 7% de part de marché, ce n'est pas assez".
Sa belle revanche professionnelle
Heureusement, le papa de Victor a rapidement su rebondir. Personne n'a oublié son incroyable succès dans Rendez-vous en terre inconnue lancé par ses soins et présentée aujourd'hui par Raphaël de Casabianca. Puis, chaque dimanche, c'est un carton que l'animateur réalise en présentant Un dimanche à la campagne . Un rendez-vous qui attire en moyenne 1,5 millions de téléspectateurs. Une campagne à laquelle il a pris goût puisque Frédéric Lopez s'est éloigné de Paris passant une partie de sa vie dans les Cévennes : "La nature est un refuge, je vis une partie du temps dans un hameau isolé, au cœur du parc national des Cévennes: j'adore les arbres, avait-il confié à Notre Temps l'an dernier. Un havre de paix pour l'animateur qui, aujourd'hui, doit faire face à une maladie dégénérative : l'otospongiose, responsable