SEARCH
Gabriel Attal : «Il arrive que la douleur soit telle que la vie n’est plus vraiment la vie»
CNEWS
2024-03-12
Views
482
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Le Premier ministre, Gabriel Attal, devant l’Assemblée nationale à propos du projet «d’aide à mourir»: «Il arrive que le diagnostic soit inévitable et que la douleur soit telle que la vie n’est plus vraiment la vie».
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x8ua888" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:02
Gabriel Attal : «Rien ne permet de conclure que ce variant du Trégor soit plus dangereux»
00:56
André Vallini : «Gabriel Attal n'aura pas plus de majorité qu'Élisabeth Borne. Le problème reste le même, quel que soit le Premier ministre»
00:56
Gabriel Attal : «Je ne crois pas qu’on se soit trompé sur l’efficacité du vaccin»
00:54
Eugénie Bastié : «Ce qu'a pu faire Gabriel Attal à l'Éducation nationale était vraiment spécifique à ce ministère parce qu'il est arrivé après Pap Ndiaye donc il a bénéficié d'un effet de contraste. Le rôle de Premier ministre est beaucoup plus complexe»
05:07
Gabriel Attal : «L’Europe c’est du concret, l’Europe ça change la vie»
05:48
Gabriel Attal propose l'apposition d'une mention sur les dossiers Parcoursup des jaunes ayant gravement perturbé la vie de leur établissement scolaire
00:46
Gabriel Attal sur la fusillade qui a coûté la vie à un enfant à Nîmes : «C'est l'horreur absolue»
01:02
Gabriel Attal : «Chercher des excuses, ça n'a jamais rendu une vie»
01:15
Guillaume Perrault : «Il y a une faiblesse dans le profil de Gabriel Attal comme Premier ministre (...), il ne connaît que la vie politique»
00:59
Gabriel Attal : «Etre Premier ministre est l'honneur d'une vie»
01:16
Colonel Olivier Rafowicz : «Les terroristes du Hamas n'ont que deux alternatives soit se rendre, soit mourir»
01:09
Matthieu Valet : «Aujourd’hui il faut faire un choix, soit on veut protéger les victimes innocentes de ces fous furieux du volant, soit on veut protéger ces voyous et on aura des victimes qui vont mourir sur le bitume»