« C’est une étape fondamentale » qui « restera dans l’histoire », a déclaré le premier ministre, Gabriel Attal, devant le Parlement réuni, lundi 4 mars, en Congrès, à Versailles. Les députés et les sénateurs ont voté pour l’inscription de « la liberté garantie à la femme d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse » dans l’article 34 de la Constitution. Le texte a recueilli 780 voix pour, 72 contre.
La France devient le premier pays à autoriser explicitement l’interruption volontaire de grossesse dans sa Constitution.