Une étude suggère que notre perception du temps peut impacter notre capacité à guérir

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Une étude suggère, que notre perception du temps, peut impacter notre capacité à guérir.
PsyPost rapporte qu'une nouvelle étude suggère que notre façon de percevoir le temps peut significativement impacter notre capacité à guérir.
Ces découvertes, publiées dans Scientific Reports, fournissent des preuves supportant le lien puissant qui existent entre nos esprits et notre santé physique.
Les chercheurs ont prouvé que les blessures guérissent plus vites quand nous pensons qu'une période de temps plus longues est passée.
Nous traversons la vie en acquérant différentes croyances via notre expérience personnelle et nos apprentissages,
la plupart nous influencent
sans que nous le sachions, Peter J. Aungle, auteur de l'étude et étudiant, Harvard University, via PsyPost.
Par exemple, nos croyances influent sur le fait de tomber malade, de guérir, les signes de vieillesses etc, Peter J. Aungle, auteur de l'étude et étudiant, Harvard University, via PsyPost.
PsyPost indique que ces découvertes suggèrent que nos constructions psychologiques comme notre perception du temps, peut exercer une influence direct sur notre santé physique.
Il est souvent important de remarquer nos croyances implicites, surtout quand elles sont contre-productives afin de les questionner, Peter J. Aungle, auteur de l'étude et étudiant, Harvard University, via PsyPost.
Comment savons-nous qu'elles sont exactes ? Quelles croyances alternatives existent ? Est-ce que ces alternatives seront plus constructives ?, Peter J. Aungle, auteur de l'étude et étudiant, Harvard University, via PsyPost.
Comment savons-nous qu'elles sont exactes ? Quelles croyances alternatives existent ? Est-ce que ces alternatives seront plus constructives ?, Peter J. Aungle, auteur de l'étude et étudiant, Harvard University, via PsyPost.
Pourquoi ne pas croire autre chose plutôt que ce que je crois ? C'est l'idée, garder notre esprit et notre corps alignés, Peter J. Aungle, auteur de l'étude et étudiant, Harvard University, via PsyPost.
Ces recherches ont pris en compte un nombre de variables important telles que l'âge, le stress, l'anxiété et la dépression.
Cependant, PsyPost précise que la nature subjective de notre perception du temps et sa variabilité selon les individus rendent très difficiles la compréhension totale du mécanisme

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