Frédéric Bouraly : l'acteur de Scènes de ménages passionné de politique
Depuis 2009, Frédéric Bouraly fait rire des millions de téléspectateurs dans la série Scènes de ménages diffusée sur M6. Dans son rôle de José, le mari gaffeur mais amoureux, il forme un duo hilarant avec Valérie Karsenti. Ce lundi 29 janvier 2024, l'acteur de 63 ans sera à l'affiche d'un prime spécial où les couples devront faire face à une "situation de crise : celle d'une comète sur le point de s'écraser sur la terre", comme rapporté par nos confrères de TV Mag.
Un intérêt pour la politique assumé
Avant cette soirée spéciale, Frédéric Bouraly s'est confié à nos confrères. L'occasion pour lui d'évoquer l'amour de son personnage pour la politique et les conséquences que cela a pu avoir dans sa vie. Mais ce n'est pas seulement José qui apprécie la politique. Dans une interview avec Le Figaro, l'acteur a révélé son intérêt pour ce domaine, tout en précisant qu'il sait faire la différence entre son personnage et lui-même.
Une campagne électorale inattendue
Frédéric Bouraly est revenu sur une situation amusante qui remonte à 2012, pendant la campagne présidentielle de François Hollande et Nicolas Sarkozy. En pleine diffusion des scènes où José faisait campagne, l'équipe de Scènes de ménages a décidé de publier des "posts pour rigoler : 'votez pour moi', vraiment une connerie". Le résultat a été surprenant : en deux jours, plus de 2,5 millions de personnes ont répondu et se disaient prêtes à voter pour lui. Le comédien a été légèrement paniqué par cette réaction et a vite voulu éviter que cela prenne une tournure politique sérieuse.
Une passion qui ne parasitera pas les élections
Frédéric Bouraly tient à préciser que sa passion pour la politique ne dépasse pas le cadre de son personnage. Il ne souhaite pas se présenter comme Coluche l'avait fait. L'acteur est ravi d'avoir réussi à divertir les spectateurs avec cette campagne fictive, mais il ne voulait en aucun cas parasiter une élection sérieuse. Au final, José n'a pas perturbé l'élection présidentielle, mais il peut tout de même se vanter d'être le "maire" de sa commune.
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