En France, près de 3000 médecins étrangers dont des Algériens sont menacés d’expulsion, en raison de leur statut vis-à-vis de la loi française régissant la pratique de la médecine dans le pays. Recrutés dans l’urgence par les établissements de santé durant la crise sanitaire, ces médecins étrangers « sans statut » ont vu leurs contrats expirés et ne peuvent donc plus exercer depuis le 1er janvier 2024. Ils risquent aujourd’hui de se faire expulser faute de pouvoir régulariser leur situation administrative.