Marc-Antoine C, l'un des trois policiers jugés pour l'interpellation violente de Théo Luhaka à Aulnay-sous-Bois en 2017, témoignait devant la cour d'assises de Seine-Saint-Denis ce mardi. Accusé d'avoir causé des séquelles irréversibles à l'anus du jeune homme, le policier a présenté ses "excuses", tout en affirmant ne pas avoir voulu "lui faire mal", ni avoir eu "l'intention de provoquer ça"