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Notre vraie nature : un voyage introspectif avec des célébrités
Ce mardi 9 janvier 2024, France 2 a diffusé le premier épisode de l'émission Notre vraie nature, animée par Frédéric Lopez. Dans ce programme, l'animateur emmène plusieurs célébrités à travers le monde pour une introspection profonde. Pour le lancement de l'émission, il a eu l'opportunité de voyager aux côtés de Gérard Jugnot, Donel Jack'sman, Barbara Pravi et Adriana Karembeu. Réunis autour d'un feu, les membres de cette équipe ont eu l'occasion de se livrer comme jamais auparavant.
Les blessures de l'enfance d'Adriana Karembeu
Lors de ce moment hors du temps, Adriana Karembeu a évoqué un sujet particulièrement douloureux : sa relation difficile avec son père. Elle a expliqué qu'elle ne souhaitait pas se plaindre, car de nombreuses personnes ont également des blessures de l'enfance et de l'adolescence. À l'âge de 7 ans, son père lui a clairement dit : "Je ne t'aime pas". Elle décrit cette situation comme compliquée, et raconte avoir lutté et porté cette douleur pendant longtemps. Ce n'est qu'à l'âge d'environ 30 ans qu'elle s'en est débarrassée, se demandant pourquoi elle n'avait pas fait cela plus tôt. Elle souligne également que l'on ne choisit pas ses parents.
L'impact sur la vie d'Adriana Karembeu
Adriana Karembeu affirme que sa relation avec son père a eu un réel impact sur sa vie de femme. Elle se sentait invisible pendant longtemps et considérait cela comme une bonne chose, car si son père ne la remarquait pas à la maison, c'était mieux pour elle. Ces blessures d'enfance ont donc influencé sa perception de soi et ses interactions avec les autres.
Des confidences touchantes sur un père toxique
Ce témoignage d'Adriana Karembeu n'est malheureusement pas une première. En 2019, lors de son passage dans l'émission Ça ne sortira pas d'ici sur France 2, elle s'était déjà livrée sur sa relation avec son père. Elle le qualifie de personne toxique et révèle qu'il lui envoie parfois des messages, bien qu'il n'ait jamais rencontré sa fille et l'ait seulement vue dans la presse. Elle parle de maltraitance psychologique et de violences physiques, soulignant qu'il ne s'agit pas de simples fessées, mais de gifles qui ont laissé des cicatrices. Elle décrit son père comme un pervers narcissique tout en précisant qu'elle ne souhaite pas le dépeindre négativement en permanence, car il a maintenant une vie et s'est remarié. Cependant, les cicatri