SEARCH
Daniel-Olivier Reverdy : «On est victimes de nous-mêmes, on est victimes de notre état de droit»
CNEWS
2023-12-04
Views
513
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Le représentant du syndicat de police Alliance, Daniel-Olivier Reverdy, à propos de l'attentat du pont de Bir-Hakeim : «On est victimes de nous-mêmes, on est victimes de notre état de droit»
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x8q8jm7" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
01:06
Olivier, proche de victimes du Hamas : «L'un des éléments importants de cet hommage est de rappeler la réalité»
01:10
Olivier Naboulet : «J'ai saisi une association d'aide aux victimes qui a pris contact avec chacune des familles des victimes et des impliquées»
01:19
Valérie Pécresse : «J’attends la vérité et la justice pour les victimes. Je pense que les victimes ont besoin de savoir comment on en est arrivé là, comment tout cela a pu se produire»
01:04
David Le Bars sur la lutte contre le trafic de drogues : «On ne fait que du droit pour le délinquant et jamais du droit pour les victimes»
01:14
David-Olivier Reverdy : «La réponse pénale n'est pas là»
01:09
Joseph Macé Scaron : «Les premières victimes sont souvent elles-mêmes à deux ou trois générations, issues de l'immigration»
01:05
Jean Garrigues : «Les victimes des squats, ce sont très souvent les squatteurs eux-mêmes»
00:40
Kevin Bossuet : «Les premières victimes de toute cette violence ce sont les habitants eux-mêmes»
00:58
Jean Messiha : «Les Français n'ont pas à être les victimes expiatoires d'un Etat de droit»
00:56
Olivier Klein : «Nos concitoyens de confession musulmane ont les mêmes droits que les autres»
01:49
Jean Messiha : «Je suis fasciné sur la capacité de notre état de droit de protéger toujours les coupables et non les victimes»
00:56
Erwan Barillot : «Si la nationalité donne les mêmes droits que l'absence de nationalité, on ne voit plus trop à quoi sert la nation»