L'armée israélienne a accepté de réaliser des "pauses" humanitaires quotidiennes pour permettre aux civils de fuir le nord de la bande de Gaza, où se concentrent les bombardements. Pour autant, l'État hébreu a balayé toute perspective de "cessez-le-feu" avec le Hamas, qui signifierait "une reddition" selon le Premier ministre, Benjamin Netanyahu.