Selon Judith Waintraub, l'AFP choisit par intérêt de ne pas employer le terme «terroriste» pour qualifier le Hamas : «Elle a aussi des clients partout dans le monde, notamment dans les pays musulmans ou à majorité musulmane. Stratégiquement, ses intérêts commerciaux sont de ne pas heurter les populations, les pays et même leurs dirigeants», a-t-elle avancé.