Des traces de sang séché sur le trottoir et des impacts de balle sur les murs. À Ofaqim, l'un des premiers kibboutz touchés par l'offensive du Hamas samedi, à une trentaine de kilomètres de la bande de Gaza, une maison porte encore les stigmates des affrontements entre policiers et assaillants, dans le but de libérer deux Israéliens pris en otage chez eux par cinq terroristes.