"Tu es un bouffon de cour d’école !" : un chroniqueur de Cyril Hanouna explose en...
Ce lundi 20 septembre 2021, Cyril Hanouna a retrouvé ses fidèles "fanzouzes" sur C8 pour un nouveau numéro en direct de "Touche pas à mon poste". Après avoir rendu hommage à René Malleville, ancien chroniqueur du talk-show et fervent supporter de l'Olympique de Marseille décédé dimanche des suites d'un cancer du pancréas, Cyril Hanouna et son équipe ont reçu le rappeur Booba, mais aussi Damien Tarel. Si son nom ne vous évoque rien, c'est parce qu'il est plus connu comme étant "le gifleur d'Emmanuel Macron". Le 8 juin dernier, Damien Tarel est passé de l'anonymat à la notoriété en infligeant une violente gifle au président de la République alors que ce dernier était venu à sa rencontre pour lui serrer la main. "Montjoie, Saint-Denis ! À bas la Macronie", avait crié le gifleur d'Emmanuel Macron.Pour son geste, Damien Tarel a écopé d'une peine de prison de quatre mois ferme ainsi qu'une privation de droits civiques pendant trois ans. L'homme de 29 ans est sorti de prison le 11 septembre dernier, après avoir purgé finalement trois mois au centre pénitentiaire de Valence. Depuis sa remise en liberté, Damien Tarel enchaîne les interviews et affirme "n'avoir aucun regret" concernant son geste. Invité de "Touche pas à mon poste" ce lundi, le gifleur d'Emmanuel Macron a réitéré ses propos, provoquant la colère d'un chroniqueur de Cyril Hanouna. "C'est pas bien ce qu'il a fait. Déjà, il ne regrette pas et c'est les institutions que tu insultes. La France, on s'est fait traiter d'abrutis dans le monde entier juste parce que tu as mis ta petite gifle de bouffon, parce que pour moi tu es un petit bouffon de cour d'école", a lancé Raymond Aabou. Face à la colère de Raymond Aabou, Booba n'a su s'empêcher d'apporter une touche d'humour en proposant au chroniqueur de venir s'asseoir à sa place, c'est-à-dire à côté de Damien Tarel. "Parce que là, je te sens, t'es chaud", lance Booba à Raymond Aabou, provoquant l'hilarité de tout le plateau de "Touche pas à mon poste".La rédaction