Denis Brogniart : ce trouble mental dont il souffre depuis un tragique événement...
À 54 ans, Denis Brogniart fait partie des animateurs indétrônables de TF1. Il multiplie les projets et participe aux beaux jours de la Une depuis qu'il a rejoint le groupe TF1 en 1993. Voilà près de vingt ans qu'il est aux commandes de "Koh-Lanta". Chaque saison, l'émission remporte un succès incroyable en réunissant des millions de téléspectateurs. Les audiences sont tellement bonnes que la chaîne n'a pas eu peur de changer la date de diffusion de "Koh-Lanta" à l'occasion de la saison all stars. Depuis le 24 août dernier, un épisode inédit du jeu d'aventure est dévoilé le mardi au lieu du vendredi.Mais "Koh-Lanta" n'est pas la seule émission qu'anime Denis Brogniart pour TF1. "Europe Sport", "Permis de reconstruire", "Qui peut battre... ?", "Ninja Warrior" et plus récemment "District Z" ! Bref, tout roule pour Denis Brogniart sur le plan professionnel. À tel point qu'il s'est lancé un nouveau défi cette année : écrire son tout premier livre, intitulé "Un soldat presque exemplaire" et publié aux éditions Flammarion. C'est dans le cadre de la promotion de cet ouvrage que Denis Brogniart a fait des révélations troublantes sur sa santé mentale. L'animateur a révélé souffrir d'hypocondrie depuis de longues années. Il a expliqué que ce mal s'était déclenché après la mort de son père, décédé des suites d'un cancer à l'âge de 49 ans."Oui je suis hypocondriaque bien sûr, j'ai peur de la maladie pour mes proches, pour moi-même", a-t-il avoué en mars dernier face à Anne-Elisabeth Lemoine sur le plateau de "C à vous".L'hypocondrie est un "trouble de la santé mentale" qui se traduit par une peur et une anxiété excessive envers la santé d’un individu."Vous savez j'ai perdu mon papa jeune et forcément c'est quelque chose qui m'a marqué. C'est aussi peut-être pour cela que je suis attaché à défendre les causes et notamment la recherche contre le cancer, parce que je crois qu'on est peut-être tout proche de très belles découvertes", a ajouté Denis Brogniart.La rédaction