La FTC intente une
action antitrust , contre Amazon.
La Commission fédérale du commerce (FTC) des États-Unis a intenté une action en justice contre Amazon.com le 26 septembre, rapporte Reuters. .
Selon la FTC, Amazon a interdit aux vendeurs de sa plateforme de pratiquer des rabais, ce qui a supprimé
la concurrence, et les a obligés à utiliser son
"service d'exécution".
L'action en justice fait suite à une enquête de quatre ans après qu'Amazon.com et d'autres entreprises ont été accusées d'abuser de leur position dominante
sur internet, selon Reuters.
Des poursuites ont également été engagées
contre Google et Facebook.
Si rien n'est fait, Amazon
poursuivra son comportement illégal
pour maintenir son pouvoir de monopole, Commission fédérale du commerce (FTC)
via leur action en justice .
La FTC a ensuite demandé au tribunal "de mettre fin à la conduite illégale d'Amazon, d'arracher le contrôle monopolistique d'Amazon, de refuser à Amazon les fruits
de ses pratiques illégales, et de restaurer la
promesse perdue de la concurrence".
La plainte demandait également au tribunal d'envisager "toute mesure équitable préliminaire ou permanente, y compris, mais sans s'y limiter, une mesure structurelle, nécessaire pour rétablir une concurrence loyale".
Les détracteurs d'Amazon ont applaudi
cette action en justice.
Aucune entreprise n'a jamais centralisé autant de pouvoir sur autant de secteurs cruciaux. Sans contrôle, le pouvoir d'Amazon de dicter et de contrôler menace l'État de droit et notre capacité à maintenir des marchés ouverts et gouvernés démocratiquement, Stacy Mitchell de l'Institute for Local Self-Reliance via un communiqué.
Amazon a publié une déclaration au
sujet de l'action en justice de la FTC.
Les pratiques contestées par la FTC ont contribué à stimuler la concurrence et l'innovation dans l'ensemble du secteur de la vente au détail et ont permis d'offrir un plus grand choix, des prix plus bas et des délais de livraison plus courts aux clients d'Amazon, ainsi que des possibilités accrues pour les nombreuses entreprises qui vendent leurs produits, David Zapolsky, avocat général d'Amazon via une déclaration