Maxime Reppert, vice-président du Syndicat national des lycées, collèges, écoles et du supérieur (SNALC) : «Je pense qu'il n'est pas très pertinent d'associer rentrée scolaire avec interdiction de l'abaya [...] Il faut éviter de considérer cette rentrée scolaire uniquement sous le prisme de cette interdiction. Il y bien d'autres enjeux pour cette rentrée 2023, notamment le manque d'enseignants face aux élèves».