Les Ermites de saint Benoît vous proposent une interprétation de :
Graduel « Bonum est confiteri » du Quinzième dimanche après la Pentecôte (rite traditionnel).

Mise en page de la partition grégorienne par Frère Toussaint à partir de l’édition vaticane du « Graduale Romanum » de 1908.

Le rythme du chant s’inspire des études et des cours de Dom Eugène Cardine, en se basant sur les manuscrits reportés dans le Graduale Triplex.

Montage vidéo par Jean-Claude Guerguy pour Ciné Art Loisir.

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Si vous êtes intéressés par la pratique du chant grégorien, vous pouvez suivre des cours ou des sessions à l’ermitage Saint-Bède.
Plus de renseignements sur :
https://www.ermites-saint-benoit.com/2021/08/05/sessions-de-chant-gregorien/

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Le chant grégorien doit son nom au pape Grégoire le Grand. Son origine se trouve dans les mélodies, influencées par les cultures grecques et juives, des premiers siècles du christianisme. Il s’est développé en même temps que les monastères d’Europe à partir du VIIIe siècle.

Il s’agit d’un chant monodique (c’est-à-dire qui se chante en une seule voix et non en polyphonie). Sa mélodie est, en général, étroitement liée au texte latin.

Le grégorien est, selon le concile Vatican II (constitution Sacrosanctum concilium, 116) : « le chant propre de la liturgie romaine ; c’est donc lui qui, dans les actions liturgiques, (toutes choses égales d’ailleurs), doit occuper la première place ».

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