« La Nouvelle Algérie » est un programme politique lancé par le président Abdelmadjid Tebboune en décembre 2019. L'objectif principal de ce programme est de réformer et de moderniser le pays dans tous les domaines, notamment économique, social et politique.
Dans le domaine économique, le programme vise à diversifier l'économie algérienne, qui dépend actuellement en grande partie des hydrocarbures. Des mesures sont prises pour encourager l'investissement national et étranger, développer les secteurs non pétroliers tels que l'agriculture, le tourisme et l'industrie, et améliorer le climat des affaires.
Sur le plan social, le programme vise à améliorer les conditions de vie de la population algérienne en développant les services de base tels que la santé, l'éducation et le logement. Des initiatives sont également prévues pour lutter contre la corruption, garantir la justice sociale et promouvoir l'égalité des chances pour tous les citoyens.
Sur le plan politique, le programme vise à renforcer la démocratie en Algérie en garantissant des élections libres et transparentes, en renforçant le rôle de la société civile et en promouvant la participation citoyenne. Des réformes sont également envisagées pour moderniser les institutions gouvernementales et garantir l'indépendance du pouvoir judiciaire.
Il convient de noter que le programme « La Nouvelle Algérie » a été lancé en réponse aux revendications du mouvement de protestation populaire, connu sous le nom de Hirak, qui a débuté en février 2019 et vise à réclamer des réformes politiques et économiques en Algérie. Le président Tebboune a promis de répondre aux demandes du peuple algérien à travers ce programme et de construire une nouvelle Algérie.
«A cet égard, le ministre a rappelé que l’Algérie est le pays-champion au niveau de l’Union africaine pour la prévention et la lutte contre le terrorisme, que notre pays s’apprête, dans le cadre de sa mandature au Conseil de sécurité, à assumer la présidence de deux Comités subsidiaires du Conseil sur la thématique du terrorisme, et que l’Algérie coprésidera prochainement avec les Etats-Unis une conférence sur la lutte contre le terrorisme en Afrique. Il a particulièrement indiqué qu’il semble que la planète entière reconnaît que l’Algérie luttait contre le terrorisme, à l’exception de la justice helvétique», indique-t-il.
Sur la base de ces données, le ministre des Affaires étrangères, ajoute le document, «déplore cette lecture révisionniste par la justice suisse, de la bravoure du combat solitaire que l’Algérie a mené contre le terrorisme». «Il a relevé le caractère singulier de la situation actuelle, dans la mesure où il est permis à une organisation d’anciens terroristes et à leurs alliés d’utiliser la justice suisse pour faire le procès de l’Etat algérien», souligne la même source. Et d’ajouter : «Il (Ahmed Attaf, ndlr) a