Un succès intemporel
Depuis sa sortie à la fin des années 1970, le titre "Born to Be Alive" de Patrick Hernandez n'a pas pris une ride. Ce tube est devenu un standard, permettant à l'artiste de prospérer pendant près de 30 ans sans sortir d'autres chansons.
Des revenus quotidiens conséquents
En juin 2022, lors de son passage dans l'émission TPMP People, Patrick Hernandez a révélé quelques détails sur ses revenus grâce à "Born to Be Alive". En tant que chanteur, auteur, compositeur et éditeur du morceau, il touche quotidiennement la somme de 1500€. Cependant, après les impôts et autres charges, cette somme n'est pas tout à fait complète.
Un titre qui rapporte en continu
Patrick Hernandez a également souligné que ses droits d'auteur lui permettent de toucher de l'argent chaque fois que son titre est diffusé, que ce soit à la radio, sur les réseaux sociaux ou même dans un ascenseur ou chez le coiffeur.
Un morceau qui a failli ne jamais voir le jour en France
Pourtant, "Born to Be Alive" a failli ne pas être distribué en France. Lors d'une interview, Patrick Hernandez a révélé que les maisons de disques françaises avaient rejeté sa chanson, la jugeant "trop originale". Selon lui, l'originalité a été une barrière initiale, mais as finalement payé.
Un revirement salutaire
Initialement, le morceau devait avoir une tendance pop, mais le producteur de Patrick Hernandez l'a convaincu de le transformer en une chanson dansante. Après avoir hésité, l'artiste a embrassé cette nouvelle direction. Aujourd'hui, il exprime sa gratitude envers celui qui l'a fait changer d'avis.
Un tube indémodable
"Born to Be Alive" de Patrick Hernandez reste une référence musicale incontournable même après des décennies. Le succès de cette chanson a permis à l'artiste de prospérer et de toucher des revenus significatifs grâce à ses droits d'auteur, quel que soit le lieu où le titre est diffusé.
Les défis rencontrés en France
La chanson de Patrick Hernandez a rencontré des difficultés pour être reconnue en France, car les maisons de disques estimaient qu'elle était trop originale. Pendant six mois, il a dû faire face au rejet de toutes les maisons de disques du pays avant de voir enfin l'originalité de son titre récompensée.
Une transformation salvatrice
Au départ, "Born to Be Alive" était prévu comme une chanson pop, mais le producteur de Patrick Hernandez a proposé de la rendre dansante. Après avoir hésité, l'artiste a accepté cette proposition et a réalisé que ce nouveau st