Quelques heures après l'attaque au couteau qui a blessé 6 personnes, dont 4 enfants, des militants d'ultradroite ont manifesté sur les lieux du drame. « Ni oubli, ni pardon », ont entonné les manifestants qui mettent en cause la politique migratoire française. Ces militants se sont rassemblés alors que tout rassemblement avait été interdit par l a préfecture et la procureure de la République.