Louis Marguerite : «Il y a déjà des choses sur la table sur lesquelles nous avons déjà commencé à travailler»

CNEWS 2023-04-18

Views 16

«Il y a déjà des choses sur la table sur lesquelles nous avons déjà commencé à travailler», a expliqué Louis Margueritte, député Renaissance de Saône-et-Loire, dans l'émission 90 Minutes Info.
Show more

Share This Video


Download

  
Report form
RELATED VIDEOS
Karim Ziabat : «Il y a un pays qui agresse un autre pays, nous devons faire preuve d’humanisme et nous avons déjà commencé à accueillir, à Cergy, les premiers réfugiés ukrainiens»
play
01:30

Karim Ziabat : «Il y a un pays qui agresse un autre pays, nous devons faire preuve d’humanisme et nous avons déjà commencé à accueillir, à Cergy, les premiers réfugiés ukrainiens»
Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police : «Nous avons l’habitude de travailler avec eux»
play
01:34

Axel Ronde, porte-parole du syndicat CFTC-Police : «Nous avons l’habitude de travailler avec eux»
Mickaël Dequin : «Nous avons des devoirs, mais aussi le droit de travailler et d’évoluer en sécurité sans que les fonctionnaires de police n’agissent avec la peur au ventre»
play
01:31

Mickaël Dequin : «Nous avons des devoirs, mais aussi le droit de travailler et d’évoluer en sécurité sans que les fonctionnaires de police n’agissent avec la peur au ventre»
Mansour Kamardine: «Depuis que l'opération Wuambushu a commencé, nous avons le sentiment que les mutineries ont beaucoup diminué»
play
01:51

Mansour Kamardine: «Depuis que l'opération Wuambushu a commencé, nous avons le sentiment que les mutineries ont beaucoup diminué»
Frédérique Camilleri : «Nous avons déjà quatre interpellations dans cette affaire»
play
01:43

Frédérique Camilleri : «Nous avons déjà quatre interpellations dans cette affaire»
Jean Messiha : «Nous avons affaire à une problème ponctuel mais avant la grève des éboueurs Paris était déjà très sale»
play
00:28

Jean Messiha : «Nous avons affaire à une problème ponctuel mais avant la grève des éboueurs Paris était déjà très sale»
Élisabeth Lévy : «Nous avons déjà une génération de Français descendants d'immigrés qui se sentent moins français que leurs parents»
play
01:00

Élisabeth Lévy : «Nous avons déjà une génération de Français descendants d'immigrés qui se sentent moins français que leurs parents»
Agnès Pannier-Runacher : «Nous avons déjà tous les outils pour lutter contre l'immigration illégale»
play
01:47

Agnès Pannier-Runacher : «Nous avons déjà tous les outils pour lutter contre l'immigration illégale»
Olivier Véran : «Nous travaillons diplomatiquement avec tous les pays dont relèvent un certain nombre de ressortissants, notamment l’Algérie. Il y a un an et demi déjà, nous avons réduit le nombre de visas légaux accordés aux ressortissants du Maghreb»
play
01:51

Olivier Véran : «Nous travaillons diplomatiquement avec tous les pays dont relèvent un certain nombre de ressortissants, notamment l’Algérie. Il y a un an et demi déjà, nous avons réduit le nombre de visas légaux accordés aux ressortissants du Maghreb»
Marine Le Pen sur l'accueil des réfugiés ukrainiens : «Nous n'en avons pas les moyens parce que nous avons été extrêmement laxistes dans la manière dont nous avons géré des flux migratoires»
play
01:36

Marine Le Pen sur l'accueil des réfugiés ukrainiens : «Nous n'en avons pas les moyens parce que nous avons été extrêmement laxistes dans la manière dont nous avons géré des flux migratoires»
Jean-Claude Beaujour : «Nous avons les moyens techniques pour identifier, arrêter et sanctionner. Nous n'avons pas besoin de lois supplémentaires»
play
00:55

Jean-Claude Beaujour : «Nous avons les moyens techniques pour identifier, arrêter et sanctionner. Nous n'avons pas besoin de lois supplémentaires»
Marion Maréchal : «Attention Monsieur Erdogan, nous aussi, nous avons notre fierté, nous savons d'où nous venons et où nous allons, nous savons que nous avons 1.500 ans d'histoire à défendre»
play
01:14

Marion Maréchal : «Attention Monsieur Erdogan, nous aussi, nous avons notre fierté, nous savons d'où nous venons et où nous allons, nous savons que nous avons 1.500 ans d'histoire à défendre»