SEARCH
Patrick Stefanini : «Les moyens de Frontex sont limités»
CNEWS
2023-04-12
Views
1
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
Patrick Stefanini : «Les moyens de Frontex sont limités (...) La proposition des LR de leur confier le monopole n'a pas de sens»
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x8k0w3l" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
00:40
Patrick Stefanini : «Les transports en commun sont un lieu où il faut renforcer la sécurité et affecter plus de moyens»
01:20
Patrick Stefanini : «La lutte contre l’immigration clandestine, ça fait partie des missions régaliennes, il faudrait que la nation consacre davantage de moyens à cette question»
00:40
Linda Kebbab : «On a des moyens coercitifs extrêmement limités»
01:34
EHPAD Saint-Joseph : des moyens très limités
01:40
Fernand Gontier : «Nous avons des moyens assez limités» en matière de gestion de l’immigration
01:00
Patrick Bonin : «Le seul moyen, c'est de confronter, de mettre en commun des moyens et de le faire de manière coordonnée»
00:55
Patrick Roger : «Aujourd'hui, il y'a une accélération parce que les moyens de communication sont beaucoup plus forts»
00:53
Patrick Bonin : «Il faut qu’on accepte que rendre la justice coûte des moyens»
00:25
Jean-Sébastien : «Ça n’est pas une question de moyens, c’est une question d’allocations des moyens»
01:06
Maître Jacqueline Laffont, avocate de Nicolas Sarkozy : «On a une justice qui se plaint d'un manque de moyens, dans ce dossier il y a eu une débauche de moyens»
00:43
Tatiana Renard-Barzach : «On a pas assez de moyens humains et de moyens financiers pour faire face à la consommation de drogues»
01:20
Alexandre Devecchio : «Aujourd’hui le service public est défaillant partout. Et tout le monde n’a pas comme la ministre, les moyens de payer deux fois. Qu’est-ce qu’on fait pour ceux qui n’ont pas les moyens de mettre leurs enfants dans le privé?»