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Le jury d'un tribunal cet État l'ouest des États-Unis a conclu à l'unanimité que Mme Paltrow, célèbre notamment pour son rôle Pepper Potts dans les films Iron Man, n'était pas responsable l'accident avec le professionnel la santé à la retraite, Terry Sanderson. L'actrice a obtenu le dollar symbolique qu'elle réclamait, le jury jugeant, après trois heures de délibération, que c'était au contraire M. Sanderson qui avait causé l'accident. M. Sanderson, un optométriste de 76 ans, a affirmé que la collision dans une station balnéaire chic des Rocheuses lui avait cassé quatre côtes et causé des dommages psychologiques durables, lançant une poursuite en 2019 contre Mme Paltrow. Lors leur plaidoirie finale devant un tribunal l'Utah, les avocats M. Sanderson ont fait valoir que leur client devait être indemnisé pour les lésions cérébrales irréversibles qu'il a subies et qui affectent sa qualité vie. Ils demandaient au tribunal d'accorder à son client 33 $ pour chaque heure de la journée depuis l'accident jusqu'au décès de Terry Sanderson, qui, selon eux, pourrait avoir lieu dans 10 ans. Le calcul s'élève à une somme de « 3 276 000 dollars pour les 17 années que Terry doit faire face à cette lésion cérébrale irréversible ». Sans succès. "Pour le plaisir" Au cœur de l'affaire, la question était de savoir quel skieur a percuté l'autre. Selon la plaignante, Gwyneth Paltrow l'a écrasé en skiant de manière "dangereuse", avant de s'enfuir, le laissant inconscient. L'actrice affirme au contraire que c'est Terry Sanderson qui l'a frappée dans le dos. « Il l'a frappée. Il l'a blessée", a déclaré jeudi l'avocat de l'actrice, Stephen Owens, "et il lui a ensuite demandé 3 millions de dollars, juste pour s'amuser. Le procès, qui a duré plus d'une semaine, a révélé des détails spécifiques sur la santé de M. Sanderson, y compris des conditions préexistantes. Certains membres de sa famille ont également témoigné pour décrire un homme au caractère difficile, déjà avant l'accident. Au début de l'affaire, Stephen Owens a affirmé que l'optométriste était "obsédé" par la plainte et que l'affaire était basée sur de "fausses allégations".