«Ce n'est pas à nous, étudiants, d'aider nos pairs. Ce n'est pas à nous de faire ce que nous faisons tous les soirs de la semaine, c'est-à-dire de distribuer des paniers alimentaires», lance le président de l'association «Cop1 Solidarités étudiantes» Benjamin Flohic, qui évoque l'«occasion ratée» des parlementaires qui n'ont pas voté le repas à 1 euro dans les CROUS. Et d'assurer : «il y a un enjeu très fort à devoir trouver des solutions politiques».