Les États-Unis et la Norvège ont fait sauter les pipelines Nord Stream ! Le grand silence des médias et des gouvernements occidentaux face à cette affirmation de Seymour Hersh, semble confirmer l'exactitude des révélations du journaliste.

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Difficile de trouver les mots justes face à ce qu’on fait Joe Biden et son équipe : détruire un gazoduc, Nord Stream 1 et 2, au nom de leurs intérêts, et provoquer un désastre écologique en relâchant dans l’atmosphère déjà bien saturée, des millions de tonnes de méthanes.
En dépit des démentis officiel, l’affaire est entendue de tous suite à la publication d’une enquête par le plus célèbre journaliste des États-Unis, Seymour Hersh. Par un article d’une dizaine de pages, il dévoile en effet, étape après étape, la fabrication de cet attentat. Et, contrairement, à ce que la presse occidentale affirme, l’article est parfaitement documenté...

Si la CIA et les autorités américaines ont nié l’existence de l’opération, comme ils avaient nié l’existence de la prison spéciale d’Abou Ghraib, il est intéressant de voir si l'information a été traitée dans les médias français :
- Le Figaro, un article dans la partie numérique réservée aux abonnés, rien dans le journal papier.
- Le Monde, rien sinon la publication du démenti des autorités américaines.
- Libération, rien de rien, de rien, de rien.
- TF1, rien à l’antenne, un article sur Tf1Info indiquant que les révélations de Hersh sont suspectes...
- France 24, une annonce reprenant le démenti de la CIA.
- France 2, France 3, rien.

À noter qu'à l’ONU, des experts américains soutiennent la Russie contre les États-Unis... et selon le Washington Post, accusée de tous bords, la Russie "n’est peut-être pas responsable du sabotage” selon les premières conclusions d’une enquête de plusieurs mois qui démontrent que “rien ne lie, de manière concluante, Moscou à l'attaque"... “La condamnation de Moscou a été rapide et généralisée”...

Il faut dire que les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) en Europe ont bondi de 60% en 2022 par rapport à 2021 en raison de la réduction significative des importations de gaz naturel en provenance de Russie. Premier fournisseur de l'UE : les États-Unis... devenant ainsi le premier exportateur mondial de GNL... Les importations américaines dans l'UE, ont littéralement explosé en 2022 : +143% par rapport à 2021 !

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