Jean Messiha : «Je suis fasciné sur la capacité de notre état de droit de protéger toujours les coupables et non les victimes. […] Si la justice n’est pas capable d’appliquer les lois, il ne faut pas s’étonner que les gens se fassent justice eux-mêmes. […] Je ne comprends pas la réticence des préfets à saisir la force publique et jeter les squatteurs dehors»