Nathan Devers, agrégé de philosophie, pense que la réforme des retraites «n’a pas été faite dans le dialogue». Il ajoute que cette réforme a été faite «dans une logique de nous mettre devant le fait accompli […] et de nous empêcher de montrer qu’il y a des alternatives consistantes» et que «ce gouvernement prétend avoir le monopole de l’économie politique».