C’est une vieille antienne, notamment du côté des Antilles françaises : les territoires ultramarins ne seraient pas totalement “ouverts” au tourisme international, et n’exploiteraient pas pleinement leurs capacités d’accueil. Pourtant, sur place comme en métropole, de nombreuses voix s’élèvent pour limiter un tel développement, généralement destructeur de la biodiversité locale. Alors, que faire ? Ouvrir les vannes, ou au contraire privilégier un tourisme qualitatif, pour ne pas dire premium ?

Une conférence à découvrir avec Françoise Gaill, vice-présidente de la plateforme Océan et Climat, conseillère scientifique au CNRS et Gilles Boeuf, biologiste et ancien président du Muséum national d'histoire naturelle.

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