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Les policiers de Montréal qui auraient été abattus dimanche par un homme en crise d'une mitrailleuse lui ont vraiment échappé, comme en témoignent les images frappantes obtenues par le journal. Rencontre dans sa résidence sur la rue Saint-Zotique est ce matin, Jacques Foulem a été visiblement secoué par le drame qui s'est produit juste en face de sa résidence. "C'est incroyable de toute façon de voir ça", dit-il. C'est un quartier super calme ici où tout le monde se connaît. Ce n'est pas triste, ce n'est pas seulement dans le nord de l'île, c'est fait ici aussi." Le résident de Rosemont possède deux caméras de sécurité qui négligent la rue et l'une d'entre elles filmée qui aurait pu se transformer en drame. Agence Maxime Deland / QMI Il était vers 6 h 40 lorsque la police a été appelée à se rendre dans une résidence unifamiliale près de la 25e avenue. À leur arrivée, ils ont rapidement ressenti la tension et ont réalisé qu'ils devaient entrer rapidement. L'un d'eux a brisé la fenêtre de la porte d'entrée. Au-dessus du balcon C'est à cette époque qu'un homme de 48 ans aurait éclaté devant eux, armé d'un pistolet d'artilleur, et ouvrait le feu dans leur direction avant son arme. Comme en témoigne la vidéo surveillance du voisin en face, premier policier s'empresse descendre petit niveau marches pour se abriter pendant que second saute par-dessus balcon et les terres la neige. Les agents se sont ensuite réfugiés derrière les véhicules garés sur le bord de la rue et ont demandé un renforcement. "Nous nous sentons vraiment paniqués en regardant la vidéo", a déclaré Frelem. La mère du suspect de 71 ans était également dans la résidence. C'est elle qui a composé le 911, voyant l'état instable de son fils. Elle n'a pas été blessée. Thierry LaForce / Agence Qmi Ne démontrant aucune résistance, Julien Giard a été arrêté peu de temps après. Il a été officiellement accusé cet après-midi au Palais du juge de Montréal pour utilisation par négligence des armes à feu, portant une arme dans un design dangereux et agression armée contre un agent de paix. Résidence Panaud, pincé les lèvres, menottés de poignets et de chevilles, Giard n'avait pas d'avocat. Il était finalement représenté par un stagiaire d'aide juridique. "Le dossier est toujours analysé, il pourrait y avoir de nouvelles accusations", a déclaré Marie-ès Rodrigue de la Couronne. Giard a des antécédents criminels, en particulier pour un vol, une introduction par Break -in, un obstacle au travail de la police et la possession d'outils de cambriolage. - Avec Michaël Nguyen et Maxime Deland