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Presque onze mois après déclenchement l'offensive russe en Ukraine, la confrontation militaire entre Moscou et Kiev ne s'affaiblit pas sur front près Bakhmout dans Donbass rédacteurLe site Omerta, a accepté décrire, exclusivement pour l'Europe 1, la réalité des combats. "Au cours des trois derniers jours, nous y sommes allés, il ne s'arrête pas, nuit et jour", commence le journaliste, interviewé par Pierre Vilno.Ar la fin la ligne, vous pouvez facilement entendre les plans d'artillerie que seuls témoignent laL'intensité du duel dans lequel les deux armées s'engagent.Explosion d'un obus juste à côté notre maison ", a-t-il déclaré. 20 janvier, 15 h 30, 300 mm Les missiles «Buratina» «Buratina» sont dessinés vers les véhicules blindés ukrainiens positionnés l'autre côté de la ligne front à 600 mètres./ Takbju4tsh - Régis le Sommier 21 janvier 2023 En face, les Ukrainiens "montent énormément", assure au journaliste qui met l'accent sur le caractère abrupte du terrain. "Les positions ukrainiennes sont derrière une crête. Et les Russes sont de l'autre côté. Nous sommes donc confrontés à l'hostilité du soulagement du soulagement durégion. "Pas assez pour ralentir la détermination des combattants qui se battent 24 heures sur 24 avec de la forte artillerie et des tirs de mortier. Armes russes en quantité Ce samedi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a souligné "l'indécision" des Occidentaux sur les livraisons de chars lourds pour Kyiv. Sur le terrain, selon Régis Le Sommier, ces appareils seraient d'une grande aide pour l'armée ukrainienne, confrontée à bien-Les forces russes approvisionnées. "Du côté russe, la panoplie de tous les armements est déployée. Il y a aussi un soutien aérien. Ils ne manquent pas d'armes, contrairement à ce que nous avons entendu. Ils ont vraiment beaucoup, beaucoup, des armes légères, Moins d'armes légères et de chars lourds », dit-il. Selon lui, les soldats de Moscou essaient d'utiliser les difficultés ukrainiennes en termes de fournitures pour lancer une attaque. "Il n'y a pas encore eu de déploiement, mais il y a toujours une préparation de ce qui pourrait être une offensive", rapporteRégis le Sommier.