«Il y a des riches qui n'ont jamais été aussi riches [...] et on nous dit que c'est à nous de nous serrer la ceinture, aux élèves de se serrer dans les classes, aux professeurs d'accepter de conduire les bus, de balayer la classe. Ce n'est pas possible, [...] faut qu'on réfléchisse à changer en profondeur les choses et repenser la répartition des richesses», lance Mélissa, enseignante à Vitry-sur-Seine