Deux jours après le bombardement d'un immeuble résidentiel dans la ville ukrainienne de Dnipro, les chances de retrouver des survivants sont « minimes » selon le maire. Au moins 40 personnes sont mortes et 75 blessées. C'est l'un des bilans de bombardement les plus lourds depuis le début de la guerre.
La présidence suédoise de l'Union européenne a condamné lundi une « attaque horrible », soulignant la présence d'enfants parmi les victimes, et dénoncé un « crime de guerre"dont les responsables seront poursuivis.