«Je ne pense pas que le nombre d'interpellations définissent si la soirée a été réussie ou pas [...] le plus important au départ, c'est de maintenir et de garantir l'ordre pour permettre à ceux qui sont là pour faire la fête dans un bon état d'esprit de pouvoir le faire», relève Grégory Joron. «On a l'impression que donner des chiffres d'interpellations définit une action de police, je ne crois pas que cela soit le cas», estime le secrétaire général unité SGP.