L'économie et la théologie ont a priori bien peu de chances de se croiser. D'un côté, les économistes ont souvent rejeté les critiques émises par les chrétiens à l'encontre de l'économie, leur reprochant une sorte de naïveté, si ce n'est un moralisme incapable de prendre en compte la complexité des mécanismes d'échange et de création de valeur. [...]