«Il y un bug qui se passe. Quand un être humain en tue un autre, ce n'est pas normal et c'est d'autant plus vrai lorsqu'il s'agit d'un enfant», souligne Jean Doridot. Pour le psychologue, «les assassinats d'enfants, en plus d'être tragiques, marquent l'imaginaire collectif parce que c'est quelque chose qui nous bouleverse dans ce qu'il y a de plus intime et animal à l'intérieur de nous».