«Beaucoup de jeunes tiennent un langage de plus en plus radical, de plus en plus violent» sur l'écologie, avance Jean Garrigues, qui parle d'une «génération Greta Thunberg». Le président du comité d'histoire parlementaire évoque un «phénomène de masse» qui prône «l'antispécisme», «le végétarisme» et «toute forme de lutte contre la pollution».