L’avocat et essayiste Ardavan Amir-Aslani explique que le foulard n’est que la goutte d’eau qui fait déborder le vase et que la révolte s’inscrit dans une lutte contre le pouvoir en place : «C’est le foulard qui sert de prétexte pour ces révoltes, mais le foulard n’est que la goutte d’eau qui fait déborder le vase, en réalité il y a une désapprobation globale des Iraniens face au pouvoir».