Jean-Christophe Cambadélis : «À partir du moment où la société va mal, une grande partie de nos concitoyens veut que ça change et que ça change radicalement»

CNEWS 2022-08-28

Views 4

L’ancien premier secrétaire du PS, Jean-Christophe Cambadélis, s’est exprimé concernant la radicalité en politique : «À partir du moment où la société va mal, une grande partie de nos concitoyens veut que ça change et que ça change radicalement». 
Show more

Share This Video


Download

  
Report form
RELATED VIDEOS
Olivier Dartigolles : «Est-ce que vous n’avez pas le sentiment (...) que la société française tient le choc ? Et que nos concitoyens français juifs le ressentent ?»
play
00:39

Olivier Dartigolles : «Est-ce que vous n’avez pas le sentiment (...) que la société française tient le choc ? Et que nos concitoyens français juifs le ressentent ?»
Michel Taube : «Le refus d'obtempérer est le symbole d'une société complètement laxiste où le respect de l'autorité a complètement disparu pour des millions de nos concitoyens»
play
01:33

Michel Taube : «Le refus d'obtempérer est le symbole d'une société complètement laxiste où le respect de l'autorité a complètement disparu pour des millions de nos concitoyens»
Julien Dray : «La société est devenue de plus en plus violente, et les comportements individuels sont de plus en plus irresponsables et violents. Il y a un travail de rééducation de tous nos concitoyens»
play
01:36

Julien Dray : «La société est devenue de plus en plus violente, et les comportements individuels sont de plus en plus irresponsables et violents. Il y a un travail de rééducation de tous nos concitoyens»
Maître Alain Jakubowicz : «Ça renvoie à nos concitoyens une image qui n’est pas si mauvaise : c’est l’humanisation de la justice»
play
01:50

Maître Alain Jakubowicz : «Ça renvoie à nos concitoyens une image qui n’est pas si mauvaise : c’est l’humanisation de la justice»
Michel Taube : «On ne peut pas imposer, dans des petites communes de 3.000 habitants, un tel dispositif qui fait venir des personnes dites
play
01:05

Michel Taube : «On ne peut pas imposer, dans des petites communes de 3.000 habitants, un tel dispositif qui fait venir des personnes dites "impossibles à intégrer". Ça nuit aux conditions de vie de nos concitoyens»
Laurent Obertone : «Il est certain que sa place n’est pas dans la rue. (…) On ne peut pas condamner nos concitoyens honnêtes à subir ça»
play
00:50

Laurent Obertone : «Il est certain que sa place n’est pas dans la rue. (…) On ne peut pas condamner nos concitoyens honnêtes à subir ça»
Rafik Masmoudi : «Si cette crise continue comme ça, c'est l'hôpital qui ne va pas pouvoir subvenir à la demande de tous nos concitoyens»
play
00:40

Rafik Masmoudi : «Si cette crise continue comme ça, c'est l'hôpital qui ne va pas pouvoir subvenir à la demande de tous nos concitoyens»
Philippe de Villiers : «Le service public ne s'est pas donné pour vocation le pluralisme. Le service public s'est donné comme vocation de changer la France, de changer de société, de changer de France. C'est ça le service public aujourd'hui»
play
01:57

Philippe de Villiers : «Le service public ne s'est pas donné pour vocation le pluralisme. Le service public s'est donné comme vocation de changer la France, de changer de société, de changer de France. C'est ça le service public aujourd'hui»
Me Alexia Germont : «Le premier devoir d’un gouvernement c’est assurer la sécurité de ses concitoyens»
play
00:44

Me Alexia Germont : «Le premier devoir d’un gouvernement c’est assurer la sécurité de ses concitoyens»
Laurianne Rossi : «Les fanzones permettent à nos concitoyens de partager cette joie d'être ensemble autour du sport»
play
01:09

Laurianne Rossi : «Les fanzones permettent à nos concitoyens de partager cette joie d'être ensemble autour du sport»
Éric Zemmour : «Les lepénistes, vous avez tout supporté pendant des décennies, n'acceptez pas d'abandonner vos idées au moment même ou tant de nos concitoyens les partagent enfin»
play
01:14

Éric Zemmour : «Les lepénistes, vous avez tout supporté pendant des décennies, n'acceptez pas d'abandonner vos idées au moment même ou tant de nos concitoyens les partagent enfin»
Pierre Lellouche : «Le premier devoir d’un État est de protéger ses concitoyens. Quand on voit l’insécurité se répandre dans le pays, c’est le signe que quelque chose ne va pas bien du tout»
play
01:35

Pierre Lellouche : «Le premier devoir d’un État est de protéger ses concitoyens. Quand on voit l’insécurité se répandre dans le pays, c’est le signe que quelque chose ne va pas bien du tout»