La première ministre Elisabeth Borne affirme ne pas "fermer la porte" à une taxation des "super profits" des entreprises, tout en préférant que l'entreprise qui le peut "baisse les prix pour le consommateur et donne du pouvoir d'achat à ses salariés ». Hier à Metz et dans les colonnes du Parisien, la première ministre s’est exprimée notamment sur la cause climatique en évoquant avec fermeté des décisions radicales pour lutter contre le dérèglement.