«Sur le moment, je peux comprendre que tout le monde n'est pas en capacité d'aider. Après coup, ce qui m’a choquée c’est le manque d’humanité. Personne n'est venu vers moi pour me demander comment j'allais(...)la seule chose qui intéressait les gens autour était de prendre leur métro» témoigneJulie Berthollet, violoniste.