SEARCH
Me Gilles-William Goldnadel : «Je considère Damien Abad comme un renégat politique»
CNEWS
2022-06-15
Views
14
Description
Share / Embed
Download This Video
Report
L'avocat, Maître Gilles-William Goldnadel, dans l'émission l'Heure des Pros 2 : «Je n'aime pas beaucoup Damien Abad. Je le considère comme un renégat politique. J'aurais beaucoup mal à voter pour lui»
Show more
Share This Video
facebook
google
twitter
linkedin
email
Video Link
Embed Video
<iframe width="600" height="350" src="https://dailytv.net//embed/x8bpkit" frameborder="0" allowfullscreen></iframe>
Preview Player
Download
Report form
Reason
Your Email address
Submit
RELATED VIDEOS
03:49
Gilles-William Goldnadel : sur le pluralisme, «on parle toujours de CNEWS et jamais de l'audiovisuel public»
01:53
Gilles-William Goldnadel sur l'attaque de Pap Ndiaye contre CNEWS
03:24
«On pourrait d'une certaine manière s'en réjouir, en rire, tellement ils se sont ridiculisés» : Gilles-William Goldnadel revient sur l'intervention des députés LFI durant la commission d'enquête sur CNEWS
00:39
Gilles-William Goldnadel : «Je ne partage pas ce goût de la meute qui voudrait déjà avoir sa peau », sur les accusations de viol visant Damien Abad
01:26
Gilles-William Goldnadel : «Je ne me rendrai pas à cette marche ! Je considère que monsieur Véran s'est déshonoré»
01:57
Paul Melun et Gilles-William Goldnadel réagissent aux propos de Gabriel Attal qui considère que «l'islamisme n'est pas une religion»
01:25
Gilles-William Goldnadel : «Je considère que ces propos sont ignominieux et illicites»
01:49
Gilles-William Goldnadel :«Je considère cette augmentation comme une catastrophe national»
00:32
Gilles-William Goldnadel : «Monsieur De Villepin considère Israël comme une parenthèse de l'Histoire»
01:11
Gilles-William Goldnadel : «C'est considéré comme la religion du vieux peuple, des blancs, même si ce n'est pas le cas»
01:02
Gilles-William Goldnadel : «Je considère que le Rassemblement National n’est plus un parti d’extrême-droite»
00:54
Gilles-William Goldnadel : «La gauche a accepté ce que le Crif considère comme un accord infâme»