Dans la banlieue de Kiev, les villages libérés de l’occupation russe tentent de se projeter vers l’avenir. L’une de nos équipes s’est rendue à Andriivka, à 60 km de la capitale. 2000 habitants avant la guerre, 700 aujourd’hui. Ceux qui n’avaient pas voulu ou pas pu fuir racontent l’horreur de l’occupation.